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Les gens de ma génération trouveront peut-être la voix de mon invitée d’aujourd’hui étrangement familière, sans pouvoir exactement la replacer. À l’adolescence, Mbelu Kayembe a participé à toutes sortes d’émissions de télé populaires au Québec, notamment le Club des 100 Watts. Malheureusement pour nous, ayant pris l’habitude de choisir le chemin le plus difficile, elle a plutôt choisi une carrière en génie puis s’est expatriée aux États-Unis.

Au fil de la conversation, on cause de:

  • Ses racines au Congo, le pays qu’elle a quitté alors qu’elle était bébé mais qu’elle a redécouvert avec bonheur trente ans plus tard, et de ses projets d’avenir pour y retourner plus souvent.
  • De grandir au Québec, étant plus souvent qu’autrement la seule personne noire à l’école ou sur la rue.
  • De la stratégie, parfois inconsciente, derrière les choix d’études et de carrière qu’elle a faits.
  • Du choc de perdre sa mère, trop jeune, et de se glisser à sa place dans le rôle de pilier familial.
  • Et de son projet de vivre en excellente santé jusqu’à au moins 100 ans.

Merci de partager ce moment avec nous.

Mbelu Kayembe, communauté et conciliation by La Quarantaine Balado

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